START UP DE TERRITOIRE ! Création d’une belle équipe de bénévoles.

START-UP DE TERRITOIRE, C’EST QUOI ?

C’est une dynamique qui souhaite réhabiliter le droit de rêver pour chacun et développer des solutions qui changent la vie, là où l’on vit, en misant sur le pouvoir d’agir et d’entreprendre ensemble !

Vous ne connaissez pas encore la dynamique ?

Rendez-vous sur leur site Internet, leur compte Facebook ou encore Instagram

Embarquez pour l’aventure Start Up de Territoire : Rejoignez les équipes de bénévoles !

Laissez-vous porter par l’énergie folle d’une équipe extraordinaire de 400 personnes !! Participez aux préparatifs dès aujourd’hui, installons ensemble la veille, mutualisons nos énergies le jour « J », rassemblons nos forces après tant d’émotion le lendemain du 2 juillet… et célébrons enfin tous ensemble cette grande aventure !

Tous les talents sont mis à l’honneur vous trouverez forcément votre bonheur !

Votre implication peut être ponctuelle, dans la durée, toutes vos envies, vos possibilités sont les bienvenues ! Vous avez plusieurs talents ? Vous pouvez également vous inscrire dans différents groupes !

Participez au prochaine réunion de présentation des rôles des bénévoles :

– le 6 juin 2019 à 12h00 à 13h30

– le 14 juin 2019 à 18h00 à 19h30 -> cette seconde session est également ouverte aux enfants qui souhaitent s’engager dans la démarche, non pas en tant que bénévoles mais en tant que véritables porteurs de rêves pour demain !

Lieu de la rencontre : La Tour du Schlöessel – rue de la Rotlach- 67200 Strasbourg

Pour se faire, rien de plus simple : cliquer ici

Découvrez ici les différentes équipes de bénévoles.

 

Appel à projets : « Programme d’Appui aux projets des Organisations de Solidarité Internationale issues de l’Immigration » – FORIM

But de l’appel à projets :

Le but du programme PRA /OSIM est d’appuyer les projets des Organisations de Solidarité Internationale issues des migrations.

Secteurs d’intervention :

  • Santé
  • Education
  • Eau
  • Développement économique
  • Développement rural et agricole
  • Développement social

Montant de la subvention :

La demande de subvention par projet est plafonnée à 15 000 euros, et dans tous les cas la subvention ne peut représenter plus de 70% du montant total du projet.

Conditions d’éligibilité :

 Le recours à un Opérateur d’Appui labellisé [OPAP] du PRA/OSIM est obligatoire pour pouvoir déposer un projet.

Plus d’informations 

Appel à projets : « Grand prix 2019 de la finance solidaire » – FINANSOL

Grands Prix de la finance solidaire : c’est parti pour la 10ème édition !

Vous êtes un entrepreneur agréé solidaire ?

Vous avez bénéficié de financements solidaires au lancement de votre projet ou pour son développement ?

Vous agissez quotidiennement pour lutter contre l’exclusion, développez des projets alliant nouvelles technologies et impact social, participez à la transition énergétique ou proposez de nouveaux modèles de société en France et dans les pays du Sud ?

Participez aux Grands Prix de la finance solidaire !

Pour la 10ème année consécutive, Finansol et Le Monde s’unissent pour récompenser les entrepreneurs qui remettent l’homme au cœur de l’économie. Téléchargez dès à présent le dossier de candidature*, vous serez peut-être le prochain lauréat de l’un des 5 prix :

  • Prix Lutte contre les exclusions
  • Prix Activités écologiques
  • Prix Technologies & solidarités
  • Prix Solidarité internationale
  • Prix « Coup de cœur du public » Territoires

* L’ensemble des documents est à renvoyer au format électronique à l’adresse suivante : grandsprix@finansol.org. La date limite de remise des candidatures est fixée au vendredi 31 mai 2019.


Cette année, les 5 lauréats se verront attribuer une dotation de 5 000€. Ils bénéficieront, en outre, d’un article dans le supplément du Monde Argent (repris sur le site du Monde) qui présentera leur projet, ainsi qu’une mise en avant sur le site de Finansol.

Téléchargez le dossier de candidature pour les projets développés en France

Téléchargez le dossier de candidature pour les projets/programmes développés à l’international

Les Grands Prix de la finance solidaire sont organisés en partenariat avec France Active, la MAIF, Mirova, le Ministère de l’Europe et des Affaires Etrangères et la Banque des Territoires – Groupe Caisse des Dépôts .

Appel à projets : Emploi et Activité – Fondation de France et Fondation JM Bruneau

Contexte

L’accès pour tous aux moyens d’une vie décente est une question universelle. Nos sociétés contemporaines y ont répondu en faisant du travail la source essentielle du revenu. La déclaration universelle des droits de l’homme établit d’ailleurs que « toute personne a droit au travail […] et à une rémunération équitable et satisfaisante lui assurant ainsi qu’à sa famille une existence conforme à la dignité humaine ».

Le monde du travail est aujourd’hui confronté à de profondes mutations qui induisent de nouvelles vulnérabilités. Les difficultés face à l’emploi concernent désormais toutes les catégories de population, tout en prenant des formes diverses selon l’âge, le diplôme et l’expérience des personnes : privation totale ou partielle, contrats de courte durée, cumul d’activités et temps de travail éclaté, gestion des transitions entre différents statuts, etc. Il est également indispensable de prendre en compte le rôle de la révolution numérique – porteuse de promesses et d’inquiétudes nouvelles – dans les métamorphoses actuelles de la société.

Ainsi, les réalités du travail et de l’emploi telles qu’elles s’étaient stabilisées au cours du XXe siècle, évoluent fortement. De nouvelles garanties sociales, collectives et attachées à la personne sont à inventer.

Objectif

Alors que la digitalisation croissante de la société peut favoriser l’isolement, il est nécessaire de soutenir des projets intégrateurs qui créent de la solidarité.

Dans ce contexte, le programme emploi soutiendra des démarches innovantes qui lèvent des obstacles (liés à la personne, au territoire ou au secteur d’activité) pour l’accès à un revenu lié à un travail :

  • Par l’insertion de personnes éloignées de l’activité professionnelle dans les tiers-lieux
  • Par le développement d’une économie collaborative d’utilité sociale
  • Par l’acquisition de compétences numériques professionnelles.

Pour plus de détails sur nos priorités d’intervention, il est impératif de prendre connaissance de l’intégralité de l’appel à projets.

Qui peut répondre ?

Cet appel à projets s’adresse à :

  • Des associations et éventuellement des coopératives dont l’activité relève de l’intérêt général
  • Des regroupements de structures permettant de construire une offre de services territorialisée.

Dans tous les cas, l’aide de la Fondation de France sera affectée à une structure non lucrative.

Comment répondre ?

L’appel à projets Emploi est ouvert du 25 novembre 2018 au 23 janvier 2019, puis du 25 janvier au 29 mai 2019.

Attention, les candidatures s’effectuent exclusivement en ligne avant le 23 janvier 2019 à 17h pour la première session et avant le 29 mai 2019 à 17h pour la deuxième session.

Tout dossier adressé par voie postale ou par courriel sera refusé.

Plus d’informations sur le site de Fondation de France.

 

14e  édition du Forum HUMANI-TERRE 

Depuis 1997, le collectif HUMANIS organise le Forum Humani-Terre à travers l’Alsace pour deux jours de rencontre entre tous les acteurs, associations, grand public et institutions autour d’une thématique : la Solidarité Internationale.

Nous souhaitions retrouver un évènement fédérateur pour les associations du Collectif et un lieu de rencontre avec le public.

L’organisation de cette 14ème édition du Forum HUMANI-TERRE bat son plein et promet un beau programme ! Le 1er et 2 juin 2019, convivialité, échanges et moments festifs seront au rendez-vous au Pavillon Joséphine – Parc de l’Orangerie – à Strasbourg pour parler de solidarité locale et internationale !

« Agir Ici et Là-bas » sera le fil conducteur de toutes les activités du week-end :

29 associations du Collectif HUMANIS vous présenteront leurs projets de solidarité locale et internationale au travers de stands, expositions et présentations.

La table ronde du samedi vous informera sur les différents types d’engagement possible (bénévolats, service civique,…) et celle du dimanche vous fera voyager solidairement en Iran dans le cadre de la journée internationale du tourisme responsable.

Le dimanche, un Brunch du monde réalisé par les associations du collectif régalera vos papilles. Vous pourrez passer un moment convivial en profitant des animations musicales et dansantes. Les plus petits seront aussi choyés, un espace de jeux solidaires leur sera dédié !

Le défilé de mode responsable du samedi après-midi sera également un moment fort à ne pas rater !

 

Appel à projet : Micro-projets de solidarité internationale – Session d’automne 2019

Présentation des financements

L’Agence des Micro Projets co-finance des microprojets de solidarité internationale visant à améliorer les conditions de vie des populations vulnérables à hauteur de 600 000 € par an. Deux sessions d’appel à projets permettent de récolter les demandes de financement :

  • la session Energie Renouvelable, qui se clôture le 15 Juillet inclus à minuit – heure de Paris
  • la session d’Automne, qui se clôture au 13 septembre inclus à minuit – heure de Paris.

Tous les dossiers doivent être déposés en ligne sur le site internet de l’Agence des Micro Projets, en cliquant sur « Connectez-vous à votre espace association »Avant tout dépôt de dossier, vérifiez l’éligibilité de votre association et de votre projet et consultez notre règlement des Dotations.

Financements :

  • entre 2 000 € et 15 000 € par projet
  • jusqu’à 75% du budget total (hors valorisations et sur dépenses éligibles)

Organisme éligible :

  • Association française inscrite en Préfecture
  • Association existant depuis + de 2 ans
  • Disposant de moins de 250 000 € de ressources annuelles

Le projet :

  • Le projet doit être réalisé sur une durée de 1 à 3 ans
  • Le projet doit être réalisé dans un pays éligible au Comité d’Aide au Développement de l’OCDE (consulter la liste des pays éligibles)
  • Le projet doit répondre aux critères traditionnels de tout projet de développement (consulter les critères de sélection )
  • Le projet peut concerner toutes les thématiques du développement  (consulter les thématiques éligibles)
  • Le projet doit être réalisé avec un partenaire local

Ne sont pas éligibles:

  • Les projets d’urgence, de post-crise immédiate, de microcrédit, micro-finance, micro-épargne, de parrainage, les chantiers de jeunes, le volontariat, les actions individuelles, les réalisations de documentaires, les oeuvres artistiques, les études de faisabilité, les projets de construction simple et les projets ponctuels;
  • Les projets ayant déjà obtenus des financements de l’Agence Française de Développement (notamment via le dispositif PRA-OSIM) ou du Ministère des Affaires Etrangères;
  • Les délégations régionales de structures nationales ne disposant pas d’une existence juridique autonome;

Consulter le règlement
Soumettre un projet

Site officiel : https://www.agencemicroprojets.org/financements/presentation-des-financements

Appel à projet : Session spécifique Energies Renouvelables

Fonds de dotation « Synergie Solaire» en partenariat avec l’Agence des Micro Projets – La Guilde

Synergie Solaire est un fonds de dotation créé en 2010 avec pour objet de développer des solutions d’accès aux Energies Renouvelables (EnR) pour les populations pauvres à travers le monde, et qui ne peuvent pas satisfaire à leurs besoins vitaux (eau, alimentation, éducation) faute d’accès à l’électricité. Grâce au soutien de 162 entreprises partenaires, Synergie Solaire peut mettre à disposition des ONG des moyens humains, financiers et techniques pour réaliser leurs projets.

    A l’occasion d’un appel spécifique pour des microprojets liés aux énergies renouvelables, l’Agence des Micro Projets lance une session de dotation microprojets « Appel ENR 2018 » en partenariat avec Synergie Solaire. Cet appel vise les microprojets de solidarité internationale contribuant à améliorer les conditions de vie des populations des pays du Sud et à lutter contre le réchauffement climatique par le développement des énergies renouvelables (éolien, photovoltaïque, méthanisation, hydroélectricité, etc.).

Les règles d’éligibilité et les critères de sélection des associations et des microprojets lauréats sont les mêmes que pour les dotations de l’Agence des Micro Projets.

Financements :

  • Session ouverte du 1 avril 2019 au 15 juillet 2019
  • entre 2 000 € et 15 000 € par projet
  • jusqu’à 75% du budget total (hors valorisations et sur dépenses éligibles)

Organisme éligible :

  • Association française inscrite en Préfecture
  • Association existant depuis + de 2 ans
  • Disposant de moins de 250 000 € de ressources annuelles

Le projet :

  • Le projet doit porter sur le thème des « énergies renouvelables pour le développement des pays du Sud »
  • Le projet doit être réalisé sur une durée de 1 à 3 ans
  • Le projet doit être réalisé dans un pays éligible au Comité d’Aide au Développement de l’OCDE (consulter la liste des pays éligibles)
  • Le projet doit répondre aux critères traditionnels de tout projet de développement (consulter les critères de sélection )
  • Le projet peut concerner toutes les thématiques du développement  (consulter les thématiques éligibles)
  • Le projet doit être réalisé avec un partenaire local

Ne sont pas éligibles:

  • Les projets d’urgence, de post-crise immédiate, de microcrédit, micro-finance, micro-épargne, de parrainage, les chantiers de jeunes, le volontariat, les actions individuelles, les réalisations de documentaires, les oeuvres artistiques, les études de faisabilité, les projets de construction simple et les projets ponctuels;
  • Les projets ayant déjà obtenus des financements de l’Agence Française de Développement (notamment via le dispositif PRA-OSIM) ou du Ministère des Affaires Etrangères;
  • Les délégations régionales de structures nationales ne disposant pas d’une existence juridique autonome;

Calendrier d’instruction

  • Date limite de dépôt des projets : 16 juillet 2018
  • Période d’instruction : juillet – septembre 2018
  • Décisions finales : fin septembre 2018

Attention : une fiche technique à remplir via un googleform vous ait demandé dans la section activité lors du dépôt de dossier

Consulter le Site Internet de Synergie Solaire
Déposer un projet à la session ENR 2018    

Les autres financements accessibles via le dépôt de projet en ligne

D’autres dispositifs financiers sont accessibles via la plateforme de dépôt en ligne de l’Agence des Micro Projets. Pour postuler, il faut remplir le projet en ligne selon les mêmes modalités que pour une demande de financement à l’Agence des Micro Projets. Au niveau du budget, indiquer quel montant est sollicité à quel bailleur.

Veillez à bien prendre connaissance des critères d’éligibilité de tous les bailleurs à qui vous faites appel. Les Fondations partenaires (Agir sa Vie et Impala Avenir), sont indépendantes de l’Agence des Micro Projets. Pour toute question concernant leurs critères d’éligibilité ou de sélection, veuillez prendre contact avec elles directement.

Site officiel : https://www.agencemicroprojets.org/financements/presentation-des-financements

Appel à projet : Fonds d’urgence humanitaire

Ministère de l’Europe et des Affaires étrangères – Fonds d’urgence humanitaire

Présentation :

L’action humanitaire d’urgence vise à assurer l’assistance et la protection des personnes vulnérables et à répondre aux besoins fondamentaux des populations affectées par une catastrophe naturelle ou un conflit : accès à l’eau et assainissement, nourriture, abris et soins médicaux. Elle complète l’aide apportée par les autorités du pays affecté par une crise et s’inscrit dans l’ensemble plus vaste de l’assistance fournie par la communauté internationale avec en premier lieu les organisations internationales.

Le Centre de crise et de soutien (CDCS) est le principal outil de l’aide humanitaire d’urgence du Ministère de l’Europe des Affaires étrangères (MEAE). Chargé de la gestion des crises se déroulant à l’étranger, il assure, depuis Paris, un suivi et une analyse des problématiques humanitaires par grandes zones géographiques (Afrique, Asie, Afrique du Nord et Moyen-Orient, Europe, Amériques), coordonne la réponse de l’Etat pour les opérations d’aide humanitaire d’urgence, assure les relations avec les autres acteurs humanitaires et effectue des missions sur le terrain. Pour l’appuyer dans son action, il dispose de correspondants humanitaires en poste dans les ambassades.

Grâce à son Fonds d’urgence humanitaire (FUH), géré par sa Mission d’Action humanitaire (MAH), le CDCS apporte ainsi une aide d’urgence sous forme de subvention ou d’apports en nature.

Zone géographique :

En 2016, 64% des crédits du FUH ont été affectés au Moyen-Orient, afin de faire face aux urgences humanitaires de grande ampleur qui perdurent dans la région : Irak, Palestine, Syrie. La réponse aux crises humanitaires en Afrique et dans l’Océan indien a mobilisé quant à elle 17% du FUH. Les 19% restants ont été affectés aux Amériques, à l’Asie et à l’Europe ;

Financement :

Le budget annuel du FUH de la MAH est d’environ 12 millions d’euros.

Les financements accordés aux ONG sous forme de subvention directe ou de délégation de crédits dans les pays affectés via les ambassades en vue de subventionner une ONG locale ou non enregistrée en France ont représenté 78 % du FUH en 2016.  Les 22% restants ont été destinés aux organisation internationales, au  Comité international de la Croix-Rouge (CICR) ainsi qu’aux Etats touchés par les crises.

Les demandes de subvention pour le CDCS sont à présenter au moyen du dossier « Cerfa n°12156*04 ».

Pour plus d’informations sur le contenu du dossier, voir la « notice pour remplir la demande de subvention ».

Consulter le site du MEAE pour plus d’informations : Centre de Crise

 

Appel à projet : Rencontre Interculturelles

Que sont les programmes JSI et VVV/SI ?

Les programmes Jeunesse, solidarité internationale (JSI) et Ville, vie, vacances/solidarité internationale (VVV/SI)ont pour but de favoriser les rencontres interculturelles de groupes de jeunes Français et étrangers autour d’une action de développement, en France ou à l’étranger. C’est un moyen intéressant de donner à ces jeunes l’occasion de s’engager dans des projets de solidarité internationale. La gestion technique et administrative de ces programmes est confiée par le ministère des Affaires étrangères au Fonjep, qui est en charge de l’accueil des porteurs de projet, de l’information, de l’animation et de l’organisation logistique. Le Fonjep travaille avec l’appui de deux comités, composés chacun d’un collège associatif et d’un collège de représentants des pouvoirs publics.

Type de projets

Projets d’intérêt collectif menés par des jeunes et portés par une association française en partenariat avec une asso­ciation étrangère.

Type d’échange

Action menée dans le pays partenaire ou en France s’il s’agit d’un projet d’accueil, pendant 15 jours minimum.

Pays concernés

Pays éligible à l’aide publique au développement [Voir la liste sur le site de l’OCDE]

Principe

Les jeunes Français doivent être accompagnés par un parrain, une association loi 1901 qui appartient à l’un des 7 regroupements d’associations de solidarité internationale reconnus par le ministère : le Crid, le Clong-VolontariatSolidarité Laïque, le Cnajep, la CHD, le Groupe Initiatives et le Forim. Les réseaux régionaux multi-acteurspeuvent également parrainer les porteurs de projet.

Quelle aide ?

L’aide est de 7500 € maximum et doit représenter 50% maximum du budget global. Les demandes sont exami­nées par une commission paritaire composée de repré­sentants associatifs et des pouvoirs publics.

Plus d’informations

Appel à projet : Solidarité déchets

Appel à projets Solidarité déchets Syctom

Le Syctom organise l’appel à projets Solidarité déchets pour soutenir les initiatives locales en faveur de l’amélioration de la gestion des déchets dans les pays en développement.

L’édition 2019 est ouverte du 1er mars au 31 mai.

Fort de son expertise dans le traitement et la valorisation des déchets, le Syctom s’engage pour accélérer la transition écologique y compris au-delà de son périmètre d’intervention. Depuis 2015, à travers son programme de solidarité internationale, il soutient des projets d’amélioration de la gestion des déchets dans des pays du Sud. Il souhaite ainsi contribuer au développement durable de ces pays, à améliorer les conditions de vie des habitants et à préserver l’environnement.

L’appel à projets

Le Syctom organise désormais chaque année l’appel à projets Solidarité déchets Syctom.

En 2019, les dossiers de candidatures sont à déposer entre le 1er mars et le 31 mai.

Cet appel à projets de solidarité internationale vise à :

  • faire émerger davantage de projets d’amélioration de la gestion des déchets ;
  • ouvrir la voie à des projets d’envergure modeste ;
  • avoir un dispositif équitable ;
  • promouvoir des projets portés par les associations de la diaspora ou des associations de petite taille présentes sur le territoire du Syctom ;
  • associer les collectivités adhérentes qui souhaitent déployer des actions de coopération internationale dans le cadre du dispositif « 1% déchets » ;
  • mutualiser et coordonner les actions du « 1% déchets » sur le territoire du Syctom, afin d’éviter le morcellement des initiatives, et gagner ainsi en efficience.

Porteurs de projet

Les candidats devront répondre aux critères suivants :

  • être une association de droit français, une collectivité territoriale, un établissement public local, une fondation, un groupement d’intérêt public ;
  • avoir son siège social en France, deux ans d’existence minimum et une expérience dans le domaine de la solidarité internationale ;
  • proposer un projet situé de préférence dans l’un des 19 pays prioritaires de l’aide au développement française : Bénin, Burkina Faso, Burundi, Comores, Djibouti, Ethiopie, Gambie, Guinée, Haïti, Libéria, Madagascar, Mali, Mauritanie, Niger, République centrafricaine, République démocratique du Congo, Sénégal, Tchad, Togo ;
  • ou bien un projet dans un autre pays en développement, sous réserve d’être en-dehors des zones d’insécurité listées par le ministère des Affaires étrangères ;
  • pour un projet intervenant sur un territoire classé en zone orange : présenter un courrier des autorités françaises habilitées attestant de la possibilité de réaliser le projet dans des conditions satisfaisantes de sécurité.

Domaines d’intervention

Les projets devront répondre aux critères suivants :

INTERVENIR DANS LES DOMAINES SUIVANTS :

  • l’amélioration de la gestion des déchets, quel que soit le stade de la chaîne : pré-collecte, collecte, traitement, valorisation énergétique et matière, sensibilisation des publics ;
  • le renforcement des capacités des collectivités partenaires à gérer ce service public ;
  • la prise en compte des objectifs de développement durable définis par les Nations Unies.

Les projets combinant gestion des déchets, accès à l’eau potable et assainissement seront examinés en priorité.

RÉPONDRE À UNE DEMANDE LOCALE :

  • s’intégrer aux stratégies de développement des Etats ;
  • avoir informé les autorités responsables ;
  • impliquer les autorités locales et les communautés d’usagers.

Dossier de candidature

La candidature se fait sous forme d’un dossier, qui réunit trois types de documents :

LA DEMANDE DE SUBVENTION

  • Une lettre adressée au Président du Syctom
  • Le dossier de candidature à télécharger et à transmettre dûment complété

LES ÉLÉMENTS DU PROJET

  • Une note descriptive
  • La qualification des intervenants
  • Le budget prévisionnel
  • Le plan de financement
  • Le calendrier prévisionnel

LES PIÈCES ADMINISTRATIVES

  • L’avis de situation indiquant le numéro SIRET de l’association
  • Les statuts en vigueur, signés
  • Le bilan financier de l’année N-1
  • Le rapport moral du président de l’association
  • Un RIB avec la mention de l’IBAN

Une fois le dossier reçu, le Syctom vérifie la présence de l’ensemble des pièces et en accuse réception.

Documents à télécharger

Documents à consulter et à télécharger pour préparer votre dossier de candidature :

Dossier de candidature (dossier à renvoyer dûment complété) :

Dépôt des candidatures

Date limite de dépôt des candidatures : le vendredi 31 mai 2019

Le dossier de candidature doit être renvoyé :

  • par courriel : solidarite-dechets@syctom-paris.fr
  • par voie postale : A l’attention de M. le Président du Syctom, Syctom, Direction des relations avec les élus et de la coopération internationale, 35 boulevard de Sébastopol – 75001 Paris

Calendrier

  • 1er mars 2019 : ouverture de l’appel à projets
  • 31 mai 2019 : date limite de dépôt des dossiers de candidature
  • Septembre 2019 : présentation des dossiers retenus à la commission solidarité et coopération internationale du Syctom, qui formulera des propositions.
  • Octobre 2019 : décision d’attribution des subventions par le Bureau du Syctom.

Contact

Pour toute question, vous pouvez contacter :

Eva AH-KOW
Directrice des relations avec les élus et de la coopération internationale.

Lien du site officiel : https://www.syctom-paris.fr/evenements/appel-a-projets-solidarite-dechets-syctom.html

Appel à projets franco-palestinien 2019

Introduction

Le ministère français de l’Europe et des Affaires étrangères (MEAE), par le biais de la Délégation pour l’action extérieure des collectivités territoriales (DAECT) et du Consulat général de France à Jérusalem, et les ministères palestiniens du Gouvernement Local (MoLG) et des Finances, ouvrent un nouvel appel à projets triennal (2019-2021) en soutien aux projets de partenariats de coopération décentralisée entre collectivités territoriales françaises et palestiniennes.

Cette initiative vise essentiellement à consolider les partenariats en cours dans le but de contribuer au renforcement des capacités de maîtrise d’ouvrage des collectivités locales palestiniennes dans le respect des attributions et compétences qui leur sont reconnues par la loi. Elle démontre la volonté des deux pays d’approfondir la coopération entre leurs autorités locales respectives au bénéfice direct des populations.

Cet appel à projets s’inscrit dans le cadre du dispositif conjoint de soutien à la coopération décentralisée franco-palestinienne suite à la signature le 11 juillet 2013 de l’accord de coopération décentralisée franco-palestinien par le Ministère palestinien des Collectivités Locales, le Ministère palestinien du Plan, et le Consulat général de France à Jérusalem.

Ce dispositif est renouvelé pour la période 2019 – 2021. Il est piloté conjointement par le MEAE (la DAECT et le Service de Coopération et d’Action Culturelle (SCAC) du Consulat général de France à Jérusalem) et par le Ministère du Gouvernement Local et le Ministère des Finances.

Il s’articule autour d’un fonds, décliné en appels à projets annuels, permettant le cofinancement de projets de coopération décentralisée sélectionnés par un comité de pilotage paritaire.

Le MEAE dote ce dispositif de 170 000 euros par an à minima, sous réserve des inscriptions budgétaires correspondantes en loi de finances. La participation de l’Autorité Palestinienne sera à hauteur de 20% de la contribution française sur chaque projet retenu conjointement.
Le présent règlement détaille la procédure de l’appel à projets.

Pour plus d’information rendez-vous sur le site www.diplomatie.gouv.fr,  vous trouverez plus d’information sur les critères d’éligibilités et les critères de sélection ou encore le mode de gouvernance du dispositif.

Contacts :

Anne-Marie MEVEL REINGOLD, chargée de mission Méditerranée auprès de la Délégation pour l’action extérieure des collectivités territoriales, Ministère de l’Europe et des Affaires étrangères
Tél : +33 (0)1 43 17 62 61 ; anne-marie.reingold@diplomatie.gouv.frJulie DUSSEAUX, chargée de mission coopération décentralisée au Consulat général de France à Jérusalem – Service de coopération et d’action culturelle
Tél : + 972 (0)2 591 4016 ; Portable : +972 (0)54 656 13 18 ; julie.dusseaux@diplomatie.gouv.fr

 

Documents à télécharger :

Appel à projets franco-tunisien 2019

Introduction

La Tunisie est engagée dans un processus de consolidation démocratique depuis 2011, et compte dans ce contexte sur ses partenaires, dont la France, pour l’appuyer dans la conduite de ses réformes. L’un de ses défis majeurs est celui de la décentralisation, inscrite au chapitre 7 de la constitution de 2014, et qui a pu s’incarner avec la tenue des premières élections municipales libres post révolution en mai 2018, peu de temps après l’adoption du nouveau Code des collectivités territoriales.

Le processus de mise en œuvre de la décentralisation tunisienne a pour objectif la concrétisation progressive des principes contenus dans la constitution, notamment en ce qui concerne :

  • la participation et la reconnaissance des collectivités locales comme composante du pouvoir public ;
  • la décentralisation comme mode de gouvernance des affaires publiques locales ;
  • le transfert des compétences en faveur des collectivités locales, dont le rôle a vocation à croître dans la gestion des affaires locales (amélioration des services fournis aux citoyens, notamment les services de base de proximité qui affectent directement le quotidien des citoyens et marquent la qualité de vie et l’attractivité des villes, et efficacité des politiques publiques) ;
  • le renforcement et le redéploiement des ressources humaines mises à la disposition des collectivités locales ;
  • l’adéquation entre ressources et prérogatives des collectivités locales et la révision des finances locales ;
  • le transfert des compétences entre catégories de collectivités locales ;
  • la définition de nouveaux niveaux de collectivités (métropoles et régions notamment).

Dans ce contexte, le Ministère de l’Europe et des Affaires étrangères (MEAE), en concertation avec les collectivités territoriales françaises et l’Ambassade de France en Tunisie, a décidé de renouveler le fonds d’appui spécifique à la coopération décentralisée franco-tunisienne afin d’accompagner la décentralisation tunisienne. Les objectifs du fonds sont notamment de renforcer les capacités de gouvernance territoriale et l’appui aux formations nécessaires pour l’amélioration de l’encadrement des collectivités tunisiennes grâce à des projets de coopération entre collectivités françaises et tunisiennes. Cet appui intervient en partenariat avec le Ministère des Affaires locales et de l’environnement tunisien et son Instance Générale de la Prospective et de l’Accompagnement du Processus de la Décentralisation.

Pour plus d’information rendez-vous sur le site www.diplomatie.gouv.fr,  vous trouverez plus d’information sur les critères d’éligibilités et les critères de sélection ou encore le mode de gouvernance du dispositif.

Contacts :

Documents à télécharger :

Appel à projet : « Sida, santé et développement : genre et VIH » – Fondation de France

But de l’appel à projets

Réduire les inégalités dans les rapports sociaux, interroger et déconstruire les représentations sur les sexualités et la place de chacun(e), renforcer les capacités et l’autonomie des femmes, tout en favorisant la participation des hommes dans ces processus, sont par conséquent des objectifs cruciaux à atteindre si l’on veut lutter efficacement contre le sida et plus largement permettre une équité dans l’accès aux soins.

Initiatives concernées

Axe 1 : soutenir des projets favorisant l’innovation dans l’approche genre

La Fondation de France souhaite aider les projets innovants utilisant l’approche genre qui expérimentent des méthodologies nouvelles à visée de transformation sociale, et priorisent  des thématiques pertinentes mais peu prises en compte par les pays et les autres bailleurs. Ces projets devront de préférence mixer actions et plaidoyer.

Ils pourront notamment :

  • concerner la vie affective et sexuelle des jeunes âgés de 10 à 24 ans, en particulier les jeunes filles, avec une approche différenciée selon l’âge et le sexe ;
  • promouvoir l’implication et la responsabilisation des hommes dans la lutte contre le VIH/Sida et leur recours au dépistage et aux soins, sans renforcer leur pouvoir ;
  • prendre en compte les problèmes sanitaires spécifiques des femmes, des hommes, et des adolescent-e-s vivant avec le VIH, quelles que soient leur orientation sexuelle ou leur identité de genre ;
  • prendre en compte les violences basées sur le genre comme facteur d’exposition au VIH et favoriser, dans ce contexte, la mise en place de nouvelles stratégies de prévention et de soins, y compris en direction des hommes auteurs de violences, ainsi que de la police, de la justice et de l’environnement communautaire;
  • intégrer la problématique du VIH dans les actions de planning familial et de santé sexuelle, et réciproquement, en utilisant une approche genre et en s’adressant de manière différenciée aux femmes et aux hommes, quelles que soient leur orientation sexuelle ou leur identité de genre ;
  • renforcer l’empowerment individuel des femmes (hétérosexuelles ou LBT) de manière à leur permettre de mieux faire face aux risques et conséquences du VIH. Cet empowerment pourra se faire notamment au travers d’activités visant à favoriser l’autonomisation économique des femmes accompagnées via un meilleur accès  aux offres, institutionnelles et associatives, de formation et d’insertion professionnelle

Axe 2 : renforcer et capitaliser l’expertise « Genre et VIH » des porteurs de projets

Les initiatives appuyées dans le cadre de cet axe pourront porter notamment sur :

  • l’organisation, par des structures très expérimentées, au niveau local, national ou régional, d’ateliers de formation (initiale, continue ou de formateurs et formatrices) sur l’approche genre dans le cadre de la lutte contre le VIH ;
  • l’accompagnement personnalisé des associations financées dans le cadre de l’axe 1 afin de mieux intégrer l’approche genre dans leurs actions et leur organisation ;
  • la réalisation et la diffusion de supports (écrits, audiovisuels,..) capitalisant les modalités d’opérationnalisation et de suivi-évaluation de projets.

Attention : ces demandes de renforcement des capacités des équipes associatives devront se dérouler en plusieurs phases étalées dans le temps et comprendre, entre chaque étape, une mise en pratique des connaissances par les personnes formées et une analyse par les formateurs et formatrices de ces acquis.

Le projet présenté pourra répondre à un axe ou aux deux axes simultanément.

Qui peut répondre ? 

L’appel à projets s’adresse aux associations et aux équipes soignantes, médicales et médico-sociales.

Les projets devront être portés par des structures issues des zones géographiques suivantes :

  • Départements français d’Outre-Mer: Mayotte, Antilles et Guyane exclusivement ;
  • Afrique subsaharienne francophone, soit les pays suivants : Bénin, Burkina-Faso, Burundi, Cameroun, Côte d’Ivoire, Djibouti, Gabon, Gambie, Guinée, Guinée-Bissau, Ile Maurice, Madagascar, Mali, Niger, République du Congo, République Démocratique du Congo, République centrafricaine, Rwanda, Sénégal, Tchad et Togo.

Critères de sélection

  • démontrer son implication dans la lutte contre les IST/VIH/Sida et/ou en santé sexuelle et reproductive depuis au moins trois ans ;
  • être une structure apolitique et non religieuse ;
  • prouver sa capacité à gérer le projet présenté au regard des ressources humaines disponibles et du budget global de l’année en cours ;
  • présenter une démarche de suivi et d’évaluation d’impact du projet, réfléchie et détaillée.

Les critères d’irrecevabilité

Ne seront pas recevables les demandes concernant :

  • des campagnes de prévention et de sensibilisation de masse ;
  • des demandes de formation ou de bourses individuelles ;
  • des conférences et colloques ;
  • des activités génératrices de revenus.

Attention, la Fondation de France ne finance pas :

  • les frais de mission et les honoraires pour des consultant(e)s français(e)s ;
  • la reconduction sans réelle justification de projets déjà financés ;
  • la totalité du projet : la recherche de cofinancements étant exigée comme gage de pérennité.

Plus d’informations

Des nouveautés à la médiathèque

Grâce à la commission achat hiver 2018, des nouveautés sont arrivées au sein de la médiathèque. Voici les petits nouveaux !

 

Dans la catégorie jeunesse :

  • « Discrimination, inventaire pour ne plus se taire » de Emma STRACK et Maria FRADE. Aux éditions De La Martinière Jeunesse. 2018, 157 pages.

Ce livre dresse un inventaire très large des différentes formes de rejet de l’autre qui ont entaché notre histoire et continuent d’imprégner notre quotidien. Dans cette présentation factuelle et documentée, ce livre ouvre les yeux sur ces injustices et rend hommage aux grandes figures qui ont permis de faire bouger les lignes.

 

  • « Les inégalités expliquées aux jeunes » par l’Observatoire des Inégalités. 2018, 46 pages.

Ce guide pédagogique créé par l’Observatoire des Inégalités peut s’utiliser en classe, en groupe ou se lire pour soi. Il traite différentes thématiques à travers 15 fiches, comme par exemple : les hommes et les femmes, le mal logement, les études….

Ce guide pédagogique apporte aussi des éléments d’explications : d’où viennent ces inégalités et discriminations ? Quels sont les progrès réalisés ? Ou au contraire, pourquoi, il n’y a pas d’évolution ?

Des repères chronologiques, des jeux de rôles, un lexique ou encore des adresses utiles aident à mieux comprendre et se situer dans le domaine des inégalités et des discriminations.

 

Dans la catégorie mondialisation et relations internationales : 

  • « Le retour des populismes, l’état du monde 2019 » de Bertrand BADIE et Dominique VIDAL. Aux Editions La découverte. 2018, 250 pages.

Le terme « populisme » est omniprésent dans la rhétorique politique comme sous la plume des journalistes et des chercheurs. Il semble pourtant aussi délicat à définir qu’à interpréter, conduisant parfois à des rapprochements douteux. En ces temps de fièvre populiste, il est donc décisif et urgent de se saisir du phénomène avec rigueur.

Quelle est la genèse du populisme ? Les historiens nous aident à comprendre comment et pourquoi celui-ci apparaît par vagues successives depuis la fin du XIXe siècle. Des approches sociologique, politique et économique viennent compléter cette « mémoire ».

Les spécialistes issus de différents champs disciplinaires réunis par l’état du monde 2019 proposent une synthèse informée et éclairante sur ce sujet brûlant.

 

  • « Schengen : Frontières intérieures et extérieures. Dedans, dehors : une Europe qui s’enferme. Observatoire des dispositifs de surveillance et de tri aux frontières de la France et de la Hongrie et en Méditerranée. » Rapport d’observation de La Cimade. 2017, 66 pages.

La Cimade (association qui vient en aide aux personnes réfugiées) publie un rapport d’enquête et d’analyse sur la situation des personnes exilées aux frontières intérieures et extérieures de l’espace Schengen. Nourri par des observations aux frontières de la France, en Hongrie et en Méditerranée, ce rapport appelle les responsables politiques nationaux à changer radicalement de cap face à des logiques qui excluent, enferment, précarisent et trop souvent tuent les personnes en migration.

 

  • « Dénoncer la machine à expulser » Petit Guide par la Cimade. 2018, 29 pages.

Après l’adoption d’une énième loi qui vient renforcer l’arsenal répressif des politiques migratoires, le petit guide « Dénoncer la machine à expulser » met en lumière la cruauté et l’absurdité d’une politique migratoire qui fait primer la logique du tri et du rejet des personnes étrangères au mépris de leurs droits fondamentaux. Un texte simple vulgarisant l’expertise de La Cimade, des chiffres édifiants, des tranches de vie et des illustrations type dessins de presse.

 

  • « La domination touristique, points de vue du Sud » recueil d’articles par Alternatives Sud. 2018, 166 pages.

« Fait social total », le marché touristique international s’apparente aussi à un rapport de domination. Il met en présence – asymétrique – opérateurs, visiteurs et visités. Les premiers se concurrencent ou se conglomèrent, les deuxièmes s’imitent ou se distinguent, les derniers se précipitent ou se retirent. Si la croissance continue du secteur repose sur sa massification et sa diversification, le droit à la mobilité récréative – 1,4 milliard de séjours à l’étranger en 2018 – reste un privilège, dont la démocratisation réelle déborderait les capacités d’absorption écologique du globe. Pour l’heure, moins d’un humain sur quinze est en position politique, culturelle et économique de visiter les quatorze restants. Migrations d’agrément et de désagrément se croisent aux frontières, béantes pour les uns, grillagées pour les autres, des régions émettrices et réceptrices. La mise en tourisme d’une destination induit des recompositions socioéconomiques, culturelles et territoriales. Participent-elles d’une amélioration ou d’une dégradation des conditions de vie des populations locales ? Le bilan est problématique : les coûts et bénéfices engendrés par les flux de vacanciers se répartissent injustement. Et tendent à creuser les écarts. L’Organisation mondiale du tourisme et quantité d’acteurs conscients des dégâts plaident pour l’adoption de pratiques éthiques et durables.

 

  • « L’année stratégique 2019, analyse des enjeux internationaux » de Pascal BONIFACE. Aux éditions Armand Colin. 2018, 380 pages.

Confrontation économique et commerciale avec la Chine ; Brexit ; présidence de Donald Trump ; climat…. « L’année stratégique 2019 propose des clés de lecture et de compréhension de ces mouvements internationaux. Cette édition contient également des analyses, des fiches pays, des fiches régionales, des cartes, des rappels chronologiques.

 

  • « Le véritable bilan des grandes entreprises françaises » de l’Observatoire des Multinationales. 2018, 151 pages.

Chaque année, à l’occasion de leur assemblée générale d’actionnaires, les grandes entreprises françaises publient leur rapport annuel. Ces publications visant avant tout à légitimer auprès des investisseurs, mais aussi des employés, des pouvoirs publics ou bien encore des consommateurs, la stratégie poursuivie par les directions.

L’objectif de cette publication est de susciter et d’alimenter l’indispensable débat démocratique sur ces stratégies et sur ces choix qui nous concernent tous.

 

Dans la catégorie informations et média :

  • « Guide de survie à destination des aventuriers d’Internet V.2 ou comment protéger ses libertés en milieu numérique « hostile » » par le CECIL (Centre d’Etudes sur la Citoyenneté l’Information et les Libertés aux éditions du CECIL. 2018, 81 pages.

Pour mieux maitriser les informations exposées, protéger notre vie privée et nos libertés fondamentales, ce guide regroupe des fiches pratiques pour découvrir, pas à pas, des outils visant à assurer cette protection. Par exemple : en privilégiant des mots de passe complexes, en limitant les possibilités de traçage en ligne grâce à des outils appropriés, par le chiffrement ou encore en faisant le choix de logiciels libres et de services et sites Internet qui proposent un traitement respectueux de nos données personnelles.

Dans la catégorie environnement et gestion des ressources :

  • « Mieux comprendre les objectifs du développement durable » Guide pédagogique/quiz par l’Agence Française du Développement (AFD). 2017, 37 pages.

L’Agence Française du Développement est l’acteur central de la politique de développement t de la France. Publique et solidaire, elle s’engage sur des projets qui améliorent concrètement le quotidien des populations dans les pays en développement, émergents et d’Outre-mer. En France, elle participe à la sensibilisation des citoyens aux enjeux de développement durable et de solidarité internationale.

Afin de mieux appréhender les Objectifs du Développement Durable (ODD), ce quiz propose de découvrir de façon ludique et pédagogique les différentes facettes et engagements de chacun de ces objectifs. En adéquation avec la mission d’éducation au développement durable des établissements scolaires, ce quiz peut permettre d’aborder de nombreuses notions étudiées dans les programmes scolaires.

Ce quiz convient aux grands comme aux petits, dès 9 ans.

 

  • « Mieux comprendre les enjeux climat & développement. »  Kit pédagogique pour les acteurs éducatifs par l’Agence Française du Développement (AFD). 2018, 19 pages.

Dans un objectif d’éducation à la citoyenneté et au développement durable, ce kit propose :

  • Des clefs de compréhension du monde dans sa globalité et sa complexité,
  • Des questionnements sur les possibilités d’actions individuelles et collectives,
  • Des pistes d’actions pour lutter contre les dérèglements climatiques et les inégalités.

Ce kit vise à transmettre des outils pertinents pour éveiller la curiosité et susciter l’envie d’agir. Il est utilisable avec des enfants de 9 à 18 ans.

 

Dans la catégorie agriculture-alimentation :

 

  • « Pour la dignité paysanne : Expériences et témoignages d’Afrique, réflexions, pistes méthodologiques » de Deogratias NIYONKURU. Aux éditions GRIP. 2018, 511 pages.

Dans cet essai, Deogratias NIYONKURU aborde des questions existentielles. Quelles priorités pour les paysans d’Afrique ? Quelles sont les formes de soutien ? Comment réconcilier l’amélioration de la productivité, la réduction de la pauvreté rurale et la préservation des écosystèmes ? Malgré l’abondante littérature en la matière, celle-ci n’est pas redondante, au contraire.

 

Dans la catégorie Bande Dessinée :

  • « L’arabe du futur 1 Une jeunesse au Moyen-Orient (1978 à 1984) » de Riad Sattouf. Aux éditions Allary Editions. 2014, 158 pages. »

Ce livre raconte l’histoire vraie d’un enfant blond et de sa famille dans la Libye de Kadhafi et la Syrie d’Hafez Al-Assad.

 

  • «L’arabe du futur 4 Une jeunesse au Moyen-Orient (1987 à 1992) » de Riad Sattouf. Aux éditions Allary Editions. 2018, 280 pages.

Ce livre raconte l’histoire vraie d’un adolescent de moins en moins blond, de sa famille franco-syrienne et du coup d’Etat de son père.

A noter, que le tome 2 et 3 sont également disponibles à HUMANIS.

 

Dans la catégorie DVD :

  • « Irrintzina : Le cri de la génération climat », un film de Sandra BLONDEL et Pascal HENNEQUIN, 2017. Durée 1h40.

Face au sentiment d’impuissance que provoque l’extrême gravité du dérèglement climatique, quelques militants de l’organisation basque Bizi ! font un pari fou : construire en quelques années une mobilisation sans précédent en vue de la COP21 et lancer un grand mouvement non-violent pour le climat : Alternatiba.

A usage interne.

 

  • « Smokin’ Fish », un film de Luke GRISWOLD et Cory MANN, 2011. Durée 1h21.

Corry Mann, jeune tlingit excentrique se bat pour faire tourner sa petite entreprise à Juneau, en Alaska. Comme chaque année, il est rattrapé par une fringale de saumon fumé et par la nostalgie de son enfance.

Il décide alors de passer l’été au camp de pêche traditionnel de sa famille pour y préparer du poisson dans le fumoir à saumon. L’histoire insolite de sa vie et l’histoire inédite de son peuple se mêlent à la préparation de la nourriture traditionnelle, aux difficultés pour payer factures, impôts et garder son entreprise à flot.

A travers un humour décapant, Smokin’ Fish raconte les tentatives d’un homme pour évoluer dans cet espace de collision chaotique du monde occidental et d’une culture ancienne, pour composer avec les exigences de la modernité et la simplicité de la plénitude heureuse. Smokin’ Fish ou comment gagner sa vie tout en profitant des petits bonheurs que la famille assure.

Nouveau dispositif à destination des associations – Région Grand Est

La Région Grand Est a mis en place un nouveau dispositif de soutien à la vie associative avec une double finalité : accompagner les associations locales du Grand Est dans le développement de manifestations de proximité et soutenir des projets reconnus localement, valorisant le bénévolat, favorisant l’animation des territoires et renforçant le lien social.

Ce nouveau dispositif de soutien à la vie associative de proximité (DIVA’P) s’adresse à toutes les associations dont les activités s’inscrivent dans les compétences régionales, et porte aussi bien sur les dépenses de fonctionnement que sur les dépenses d’investissement.

Vous pouvez consulter le cahier des charges du DIVA’P ici.

Vous pouvez télécharger le Dossier de subvention ici.

Dans l’attente de la mise à disposition d’un portail numérique unique sur lequel les associations pourront déposer leurs demandes de subvention, celles-ci sont à adresser via le formulaire unique ci-joint par mail à vieassociative@grandest.fr, ou par courrier à :

Région Grand Est
Direction de la jeunesse, des sports et de l’engagement
Service Engagement
Place Gabriel Hocquard
CS 81004- 57036 Metz Cedex 1

Pour toute question :  vieassociative@grandest.fr